Alger le 07/07/2006

Si la vérité est bien chez le saint de corps et d’esprit, le tort ne peut être que chez le diable à l’apparence humaine…
Dans l’existence humaine, quiconque peut être un savant et quiconque peut être aussi ignare que moi mais, nul n’est cochon et nul n’est gazelle et nul n’est lumière comme nul n’est ténèbres. Nous sommes des humains et nul d’entre-nous ne peut se dispenser de l’air et de l’eau que dieu a voulu les leitmotivs d’une existence voir d’une vie…

Avec les différentes sciences et technologies l’homme est parvenu autant à combattre le spectre de tant de maladies et à conquérir la lune mais il n’arrive toujours pas à reconnaître que si les hommes ne sont pas identiques ils se ressemblent car ils sont des vivants avec plusieurs dénominateur communs dont l’espoir (souci du respect compris pour autrui)…

Pour celui qui veut comprendre, apprendre et ainsi confirmer le sens de la convivialité et du respect d’autrui dans cette vie, se doit de se délivrer des jugements précoces voir superflus ou encore de voir tout en rose lorsque son esprit plongé dans le noir de l’hypocrisie n’a de semblable celui qui est issu du comportement de ce diable banni autant par dieu que par tout sain homme fier de son appartenance à l’espèce humaine… Il faut aussi se mettre à la place des autres lorsque même lorsque l’orage est à mille lieu et la foudre bien plus loin encore ou encore de voir tout en noir lorsque le cœur ne peut ni s’ouvrir aux autres et par voie de conséquence à la lumière ni accepter que les autres soient ce qu’ils sont sans pour autant être ce qu’il est…
Ne pas oublier qu’un geste aussi insignifiant qu’il puisse nous paraître, pourrait bien être d’une grande portée pour cet autre, que nous voulions, pour telle ou telle raison ignorer pour ne pas dire diminuer voir décaler au rang d’individu. Encore faut-il que les uns et les autres reconnaissent la valeur des gardes fous que dieu a transmis dans les livres saints comme dans les paroles des messagers et des prophètes… L’incompréhension étant totale il est temps de faire la distinction qui s’impose entre culture, éducation et instruction…
Tant que l’inculture reste livrée à elle-même pour ne se reconnaître plus de frontière et tant que la volonté de redonner un sens à l’esprit du mal voir le justifier, il ne sert plus à rien de jouer le rôle de conciliateur ou du modéré ou encore d’humain au sens propre du mot lequel véhicule toute une culture. Il faut avant tout opter pour l’insertion dans le monde des humains porteurs des germes de la culture humaine ensuite, il va falloir accepter que nul ne peut couper voir détruire le pont pour crier à l’isolement… Encore faut-il savoir ce que veut dire un pont…
Encore faut-il que les uns et les autres sachent que même s’ils sont condamnés à vivre ensemble (sur cette planète voir terre), ils ne sont pas pour autant condamnés à s’aimer tout comme ils ne sont pas condamnés à se haïr. Cela ne veut nullement dire qu’ils sont appelés à vivre dans une totale indifférence de ce que pourrait arriver de pire à tel ou tel même sous l’emprise de telle ou telle folie. Dieu en créant la terre et l’homme a si bien fait les choses pour qu’il nous soit impensable de ne pas parler de complémentarité plus dans le bien que dans le mal… Donc les humains se doivent de s’accepter ne serait-ce que pour honorer la diversité dont dieu nous a béni…

Le diable
Sans eau dans sa boule
Du zéro, tout découle
Pour lui le mauvais rôle
Il embrase les deux pôles.

Triste et bien triste destin
Haineux il se veut voisin.
Ses yeux, tels ceux d’un félin
Brillent de rage de bon matin.

Rancunier, il oublie Dieu
Sur les lèvres, il est pieux
Calculateur l’insidieux.
Phraseur, il se fait vieux.

Grand maître des conciliabules
En besogne, un grand nul.
Où il passe, il sème la canicule
Les blasphèmes, il les cumule.

Dieu ayant bien fait les choses
L’oignon, ne sera point une rose.
La montagne perd toujours sa pose
Lorsque le volcan explose.

Le pardon est une culture
L’insolence est une blessure
Au scorpion la belle mesure
A la perfidie les encoignures.

La ville, une grande maison
La haine reste un poison
La solitude est une prison
Prions qu’il retrouve la raison.


Alger le 11/07/2006

Pour une autre page.

La vieillesse me guettant
Je t’ai donné, un nom
Je sais, il n’est pas important
Noha, reste ton prénom.

Comme je voudrai t’offrir
Souliers et habits brillants
Sac à main pour jouir
Au cou, pendentif étincelant.

Comme je voudrai te dire
Tien voilà, pour souvenir
Mon passé pour te soutenir
Mon présent pour sourire.

Je ne peux rien effleurer
L’amour ne suffisant plus
Avant de me pardonner
Sache qu’ainsi j’ai vécu.

Je ne peux que regarder
Le reste je l’ai bien perdu
Sur ce passé m’attarder
Foyer de paix et de vertu.

Ce présent me décale
La grande fête approche
En toi, tout s’emballe
Rien au fond de ma poche.

Petite, maman te faisait rire
Grande, je t’ai fait pleurer
Crois-moi, point d’élixir
Lequel ne veut pas charmer ?

Petite à l’école, t’emmenait
Grande, maman t’admirait.
Croix-moi, point de sueur
Lequel rejette le bonheur ?

Petite, tu es mon souvenir
Grande, tu restes ma chair
Pardon, je te fais souffrir
Je t’aime plus que cette terre.

Tu vas partir, la valise vide
Ma prière t’accompagnera
Pauvre, je ne suis pas sordide
Je vaux ce que valent mes pas.

Alger le 24/06/2006


Un amour sain ne meurt jamais. Il vous suit jusqu’à la tombe. Il est comme une tache indélébile que nul détergeant ne peut venir à bout. Il est tel cette source, jaillissant de la montagne qui coule pour former une rivière laquelle, à son tour s’en va défier la nature pour se jeter soi dans un profond gouffre soit dans la mer. Ce dit amour n’a pas besoin de mots pour survivre afin de continuer d’exister au cœur de cette société qui a perdu ses sens pour se noyer dans les chemins sinueux de l’inculture. Il n’a pas besoin de trop de présences pour continuer à défier cette société tombée dans le monde où la noblesse, l’honneur et la vertu ne veulent plus rien dire. Il n’a pas besoin que l’on lui étale voir que l’on lui déroule le tapis vert en reconnaissance à son l’endurance ou encore que l’on lui sourit ou que l’on lui fait des clins d’œil puisqu’il a opté pour le respect de la solitude et de l’éloignement… Divinement protégé, sa sainteté l’aide à persister dans sa voie malgré le noir qui l’entoure sans chercher à aimer ou à être aimé ou encore à plaire. Sa pureté aussi, vous condamne au monde des déçus parce que pour une raison ou une autre vous n’avais pas pu la transmettre parce que déçu vous vous êtes retranché sur vous-même en caressant sans cesse la peur d’une autre déception… Beaucoup, oublient qu’en fermant ainsi la porte devant ce dit amour, il impose à ce petit cœur qui le (amour) porte, de se renfermer le plus souvent éternellement. Ne dit-on pas que le premier amour ne s’oubli pas ? Ne dit-on pas que le meilleur amour c’est celui qui reconnaît le droit du sacrifice et l’honore... Dans la vie d’un homme quarante ans de parfait amour parfaitement partagé ce n’est rien, puisqu’il appellera sans cesse à son épanouissement mais quarante années et bien longues années de douleur vous vous devez de penser comme moi que c’est bien quelque chose…

Si tu savais
A la fin de ton chemin
On m’appelle au matin
Pour m’annoncer ce destin
Sur lequel, point de main.
Toute autre, je te retrouve
Tes yeux me le prouvent.
De mon regard je te couve
Tu n’es plus une louve.
Si tu savais
Ce que j’ai braver
Quand tu rêvais.
Si tu savais
Dans ma traversée
Ce que j’ai enduré.
Si tu savais
Quand, sollicitée
Tu m’abandonnais.
Si tu savais,
Au silence je réduirais
Ce monde qui s’arrêterait.
Perdant le goût de la vie
Blanches, furent mes nuits
Malade, aujourd’hui
Tu m’appelles de ton lit.

Si tu savais
Avec cette porte fermée
Ce qui disparaissait.
Si tu savais
De larmes je lavais
Mon mouchoir caché.
Si tu savais
Quand tu tirais
Sur moi un trait.
Si tu savais
L’espoir, tu l’as tué
Le noir, étalé, remué
Plus rien ne compte plus
Le perdu n’est pas perdu
J’ai gagné l’inconnu.
Si tu savais
Ces doigts que je mordais
Heure sans jour, attristée.
Si tu savais
Mieux ne rien savoir
Je viens pour te voir.
Je prie que tu vives
Je reste dans l’autre rive.



Alger le 13/07/2006

A la vue de ce que qui se passe aux quatre coins du monde, toute conquête spatiale n’est que le pur témoignage de notre défaite sur cette terre avec cette existence que nous voulons parfois sous forme de l’année de paix, une autre de concorde, une autre de réconciliation et une autre de multiple dialogues et souvent de progrès, d’épanouissement, et souvent de démocratisation et encore et encore.
A la vue de ce qui se passe sur cette terre, toute percée dans les différentes technologies et dans les différentes sciences ne sont en fait que l’irréfutable preuve de notre déficit tant moral que physique devant les réelles solutions qu’imposent le droit et le devoir de tout un chacun autant devant la réalisation voir la concrétisation de l’espoir que la mise en place d’une permanente lute contre le désespoir le plus souvent issu de l’indifférence voir de la légèreté dans la gestion du quotidien.
A la vue de ce qui se passe sur cette terre, toutes les découvertes historiques (momies et autres) et les enseignements que nous pouvons tirer ne sont en faite qu’un leurre puisque nous restons incapable de ramener les vivants à la table de discussion autour d’un seul et unique point l’incontournable respect du droit d’autrui…
Et encore et encore et encore.
Voilà le feu qui nous dévore.
Sans cesse, dire qu’il y a de plus pire dans la vie reste la formule la plus magique pour nous aider à survivre.
Cette réflexion nous laisse penser qu’il y a une forme comme une autre d’une parfaite soumission à la réalité que les uns imposent et que les autres exécutent. Cette vision, cache bien qu’il y a une forme de complémentarité (loups et renards de côté et brebis et agneaux de l’autre) que les uns et les autres veulent tel le leitmotiv de cette existence.
A chaque occasion les uns et les autres nous rappellent qu’il faut de tout voir d’aisés et de misérables tout comme de tyrans et de tyrannisés pour faire un monde et s’en vont créer des disparités lesquelles à leurs tours nous créent des abîmes pour donner naissance aux conflits dont l’origine n’est autre que la culture de la haine issue de l’ignoble sentiment de grandeur berceur de l’après moi c’est le déluge.

Cette réflexion n’est-elle pas la parfaite voie menant à la plus bruyante déroute de l’homme en général et aux différentes labyrinthes du deux poids et deux mesures ou l’analyse à deux vitesses du droit en général? Donc elle ne peut que nous inviter à une meilleure compréhension autant du devoir du devoir que du droit du droit dont l’actuelle définition à tout point de vue est bien en retard par rapport au sens d’une noble existence basée sur la disponibilité du vital dont le respect…

Ces deux pensées ne nous mènent-t-elles pas tout droit vers l’incontournable réflexion sur la civilisation en général et le civilisé en particulier ? Faites moi grâce de l’actuelle définition de ce mot (civilisation) et je ferai don de l’actuel comportement des civilisés à qui le voudrait… Si le premier mot sous-entend beaucoup de beauté dont le progrès le second ne peut signifier que le bannissement des disparités…
Ces deux mots n’imposent-ils pas la vulgarisation autant de l’information, la communication que la vulgarisation du droit à l’existence ? Où en sommes-nous ? Je ne parle pas de l’information avec image à l’appui dont le rôle est plus une forme d’appel à la haine qu’à un appel au dialogue et au respect d’autrui… Je ne parle pas de ses images, témoignage de la présence de l’homme animal au sens propre du mot et encore moins de ces formes de prêches que les uns veulent tels des discours lesquelles nous rappellent que le passé avec tout son lot de malheurs n’a servi à rien et qui nous rattrape ou encore et encore ses réunionnites conçues uniquement pour tester le degrés de maturités des uns et les faiblesses des autres puisque le droit de veto est si respecter qu’un jour ou l’autre nous le retrouverions dans nos lits...
Je parle de l’information qui développe voir qui ouvre la voie à la culture et laisse les uns et les autres s’épanouir sans cette multitude de préalables et d’ultimatums. Je parle tout simplement de l’information qui impose le dialogue et invite à la concrétisation des résultats… Une information qui ne change pas de visage au gré des bourses et des couleurs…
Enfin il n’y a pas que le temps qui change. L’homme aussi est entrain de perdre autant sa noblesse, sa culture que sa civilisation. Même le profond sens des religions se retrouve détourné de ses buts avec ces nouveaux charlatans du verbe et de sa définition. Les philosophies aussi ne sont pas étrangères aux maux que nous subissons.
Les humains ne sont-ils pas appelés à inventer une autre et bien unique culture qui prend en considération les différentes spécificités des quatre coins de la planète ?
Encore faut-il que la haute magistrature de chaque pays ne crie pas à telle ou telle forme d’ingérence dans les affaires intérieures…
Donc, ne pensez-vous pas que notre mauvaise compréhension et prise en charge de l’histoire et des mémoires soit bien la cause principale des conflits que nous vivons dont celui du Moyen Orient ?
Pour luter contre le feu, mettre tout en feu est-elle une solution digne de la percée de l’homme dans le temps ?
Est-il admissible que pour maintenir telle inflation il faut inventer des crises voir des conflits ?
Comment se fait-il que l’homme à ce point soit devenu plus mordu du matérialisme que du sentimentalisme bien humain envers les humains ?
Sommes-nous à la hauteur autant de l’humain que de cette terre que salissons chaque jour davantage ?
Sommes-nous à la hauteur de notre foi en dieu et de ce que nous récitons comme versets, psaumes et paroles des prophète et messagers ?
Avons-nous conscience du dernier jugement divin ?

Le coin des larmes.
Dans mon coin, coulent, des larmes
J’en prends soins, sans arme.
Prières et rêves, me voilà dépourvu
Fier, je l’étais je ne le suis plus.
A tout un début, même au charme
La brebis devant les loups s’alarme
Hagard, dans ce monde perdu
Essoufflé, l’agneau devient un intrus.

Dans mon coin, on brûle les pages
Tout n’était qu’illusions et mirages
Espoirs brisés, point de sursaut
Renard rusé, renifle même l’eau.
A tout un début, même à l’orage
Sage, l’écureuil rejoint la cage
L’innocence, bien triste fardeau
Fait fléchir et courber le dos.

Si ce n’était qu’un cauchemar
Le présent n’aurait pas été si avare.
Alors, ces frères qui se détruisent
Applaudissons les, ils se ridiculisent.
Applaudissons ce silence complice
La paix a perdu son ultime hélice.
Applaudissons, ces prix Nobel
Mettons notre chair à la poubelle.
Applaudissons le patronat mondial
Le baril devient l’unique impérial..

Alger le 20/0/2006

Je dédis ces vers à tous ceux qui subissent de plein fouet cette nouvelle forme de la tyrannie que nous rencontrons au niveau de nos tribunaux avec une interprétation à la hauteur de l’adultère autant du droit de la femme que de celui de la famille… Pour mieux comprendre ces quelques, il faut lire la longue lettre qui s’intitule « code codé pour une famille décodée ».
Au nom de la famille
Après le vent suffocant de l’est
Voilà, le glacial venir de l’ouest
Le centre, sans droit à la parole
Snif et regarde la parabole.
Les entrailles bien en miettes
Le sud, est remis aux oubliettes
Ses hommes survivent à la sauvette.

Aux tyrans, coulisses et palaces
La gratuité des mémoires en surface
Indexations est gifles en place.
Immondices à ciel ouvert
Indécences et adultères
Jadis, cette terre fut une mère.
Histoire et religion dans la tombe
Mouroirs et contagions en trombe
Ils ont tué, écureuil et colombe.

Après les chaînes voilà le fouet
Dans l’avilissement cloué
Papa, à l’échec est voué.
Ils parlent du bien de l’enfant
Défrichent la voie au Satan
Au grade ils font monter maman.
Ils parlent de familles propres
A la tête ils placent les impropres.


Alger le 20/0/2006

Je dédis ces vers à tous ceux qui subissent de plein fouet cette nouvelle forme de la tyrannie que nous rencontrons au niveau de nos tribunaux avec une interprétation à la hauteur de l’adultère autant du droit de la femme que de celui de la famille… Pour mieux comprendre ces quelques, il faut lire la longue lettre qui s’intitule « code codé pour une famille décodée ».
Au nom de la famille
Après le vent suffocant de l’est
Voilà, le glacial venir de l’ouest
Le centre, sans droit à la parole
Snif et regarde la parabole.
Les entrailles bien en miettes
Le sud, est remis aux oubliettes
Ses hommes survivent à la sauvette.

Aux tyrans, coulisses et palaces
La gratuité des mémoires en surface
Indexations est gifles en place.
Immondices à ciel ouvert
Indécences et adultères
Jadis, cette terre fut une mère.
Histoire et religion dans la tombe
Mouroirs et contagions en trombe
Ils ont tué, écureuil et colombe.

Après les chaînes voilà le fouet
Dans l’avilissement cloué
Papa, à l’échec est voué.
Ils parlent du bien de l’enfant
Défrichent la voie au Satan
Au grade ils font monter maman.
Ils parlent de familles propres
A la tête ils placent les impropres.


Alger le 19/07/2006
Le massacre
Intransigeants, jeunes et vieux
Des deux côtés, ils se veulent, pieux.
Ils aiment le sang, c’est bien curieux
Ils s’offrent des rangs, c’est odieux.
Dans la canicule, que de malheureux
Au ridicule s’ajoutent les enjeux.
Ecoute perdue, regards flous
Qui aurait cru, au retour des fous
Pour une fenêtre les uns détruisent
Pour une porte, les autres instruisent.
La femme, de la haine s’est éprise
L’homme avec le diable pactise.
Peurs et angoisses, rallongent la nuit
Les sangsues susurrent leurs fruits.
Silence déchiré, place au bruit
L’humain éventré, plus d’amis
Les frères en causes sont remis.
Comme le mien, le vôtre, c’est un pays
Comme vous, moi, ils aiment la vie.
Bien vivante, s’enterre la colombe
Le Liban renoue avec les bombes
Ponts, routes, mêmes les tombes.
Anciens et nouveaux abondent
Derrière le rideau les uns attendent
Sur la table, les autres se vendent.
Les larmes coulent, les cris s’envolent
Les bases en boule, silence aux pôles.
Le paradis et l’enfer se saoulent
Une à une, les maisons s’écroulent.

mouloudi mustapha

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